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Valérie Féron : journaliste accréditée, soutien du BDS, apologiste du terrorisme palestinien

HonestReporting Française à l’honneur d’annoncer la découverte d’une journaliste française vivant en Israël, disposant d’une carte de presse israélienne, et faisant ouvertement l’apologie du BDS et du terrorisme palestinien. Tout d’abord, nous vous présentons Valérie Féron…

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HonestReporting Française à l’honneur d’annoncer la découverte d’une journaliste française vivant en Israël, disposant d’une carte de presse israélienne, et faisant ouvertement l’apologie du BDS et du terrorisme palestinien.

Tout d’abord, nous vous présentons Valérie Féron :

Valérie nous vient de Dieppe dans le Nord de la France, où elle est née le 8 janvier 1967. D’après sa biographie sur son site web :

Adolescente, elle consacre ses loisirs principalement à l’animation radio dans une station à Dieppe, et est déjà décidée à devenir journaliste. Après un bac littéraire, passionnée par les langues étrangères (anglais allemand italien) elle passe un an en Allemagne (à Hanovre) puis s’installe à Paris où elle poursuit des études d’Allemand à la Sorbonne (Paris IV). Parallèlement, elle commence à s’intéresser sérieusement au conflit ” israélo-arabe ” alors que débute la première Intifada dans les territoires occupés. Elle se rendra entre 1988 et 1990 à plusieurs reprises sur place mais simple étudiante, ne pourra pas aller en zone palestinienne et restera chez des amis israéliens. Elle commence à apprendre l’hébreu et l’arabe et effectue des stages en presse écrite. Elle arrêtera ses études universitaires  pour se consacrer pleinement au journalisme et se spécialise sur le Proche-Orient. De juillet 1992 à décembre 2000 elle sera journaliste au service francophone d’une radio franco-libanaise à Paris. Elle effectue pendant cette période plusieurs voyages à titre personnel en Israël et dans les territoires palestiniens. Elle démissionnera de son poste en décembre 2000. Elle vit depuis août 2001  dans la Vieille Ville dans la Jérusalem occupée.

Le site web de Valérie Féron

En soi, rien de trop méchant. Seulement voilà, Valérie Féron a du mal à distinguer “journalisme”, et “propagande anti-israélienne, soutien au BDS & apologie du terrorisme”.

Ce qu’il faut savoir c’est que Valérie a commencé son séjour en Israël comme journaliste pour l’Humanité, l’ancien organe officiel du Parti Communiste Français. Premier signe que Valérie n’est peut-être pas la plus impartiale des journalistes.

Valérie en reportage

C’est d’ailleurs dans sa qualité de journaliste à l’Humanité que Valérie a rencontré le 28 mars 2004 une délégation de 17 membres de l’AFPS, la notoire Association France Palestine Solidarité.

Pour rappel, l’AFPS a notamment été condamnée en mars 2013 par la Cour d’appel de Versailles à payer 90 000€ in solidum avec l’Organisation de Libération de la Palestine à Veolia pour s’être opposé à l’exploitation par la société d’une ligne de tramway à Jérusalem, qui représentait selon elle “une violation des droits de l’Homme”.

De plus l’AFPS a vu quatre de ses membres condamnés le 15 novembre dernier pour “entrave à l’exercice normal d’une activité économique” à 1000€ d’amende chacun par le TGI de Toulouse, après avoir distribué de tracts du BDS.

En effet, l’AFPS ne cache pas son soutien total à la campagne du BDS : 

Mais revenons en à notre chère Valérie… Le 1er mars 2002, le mois le plus meurtrier de la 2ème Intifada, Valérie Féron fait dans le quotidien suisse 24 heures, ni plus ni moins que l’apologie de la terroriste kamikaze palestinienne Darina Abou Aïshé :

Darine, 20 ans, kamikaze et martyre

Darine Abou Aïshé s’est tuée mercredi en faisant sauter sa ceinture d’explosif à un barrage militaire israélien. Destinée à devenir enseignante ou traductrice, elle était aussi membre de la résistance armée contre l’occupation.
Darine avait 20 ans. Issue d’une famille ouvrière de six enfants d’un petit village près de Naplouse, Beit Azzan, elle était étudiante dans le département d’anglais de l’Université an Najjah de Naplouse. Aujourd’hui, ses amis comme sa famille la pleurent et se déclarent extrêmement surpris de son acte: «Darine avait déjà évoqué ce genre de sujet devant moi mais je n’avais pas prêté attention à ses propos, explique sa maman. La situation est tellement terrible pour nous tous que j’ai pensé qu’il ne s’agissait que d’un moment de désespoir passager.»
Pourtant, dans la cassette vidéo qu’elle a laissée pour expliquer son acte, Darine déclare qu’elle fait partie de la section féminine des Brigades des martyrs d’Al Aqsa, un groupe de la résistance armée né au début de l’Intifada et proche du parti du président Arafat, le Fatah.
Tout d’abord, voici Darine, “kamikaze et martyre, membre de la résistance armée contre l’occupation destinée à devenir enseignante ou traductrice” :
Darine Abou Aïshé

Valérie s’emporte aussi, parce qu’elle nous apprend que les Brigades des martyrs d’Al-Aqsa, la branche armée du Fatah, est “un groupe de la résistance armée”. Pour rappel, cette organisation considérée comme terroriste par l’Union Européenne, les États-Unis, le Canada et Israël. Ce groupe a commis de très nombreuses attaques durant la seconde Intifada qui ont causé la mort de dizaines d’Israéliens et blessé des centaines d’autres.

Or cela rentre bien dans la définition de l’apologie du terrorisme : “présenter le terrorisme sous un jour favorable, de façon positive. C’est un discours qui met en valeur le terrorisme et y incite.”

Une image de propagande du “groupe de la résistance armée”

Valérie Féron, quand elle ne fait pas l’éloge de “la résistance palestinienne”, reçoit des délégations d’associations françaises soutenant le BDS, comme lorsqu’elle a reçu en 2015 une délégation des “Amis d’Al Rowwad 21”. Les Amis d’Al Rowwad qu’est-ce donc ? La réponse sur leur site :

LES AMIS D’AL ROWWAD est une association loi 1901 à but non lucratif fondée en 2002 par Jean Claude Ponsin . Elle a pour objet le soutien par la culture à la résistance du peuple palestinien à l’occupation et la colonisation israéliennes.

Valérie avec les membres de la délégation des Amis d’Al Rowwad à Jérusalem en 2015

L’ironie dans toute cette histoire, c’est que les membres de cette association sur le site web dédié à leur visite au Proche-Orient ne considèrent même pas Valérie Féron comme une journaliste, mais bien comme une militante qui fait l’éloge du BDS.

Valérie Féron travaille actuellement pour Medi1, une radio marocaine.  C’est ainsi qu’elle a écrit pour eux en octobre 2015, en pleine vague de terrorisme palestinien, un article qui décrit :

Ces “agressions” auxquelles Valérie fait référence les voici :

  1.  Quatre civils israéliens sont blessés dans une attaque au couteau à un arrêt de bus à Ra’anana. L’assaillant est arrêté.
  2. Un civil israélien est tué et deux autres sont blessés dans une attaque à la voiture bélier à Jérusalem. L’assaillant a été blessé et arrêté.
  3. Deux civils israéliens sont tués et sept autres blessés dans un bus à Jérusalem suite à une attaque à l’arme à feu et au couteau. Un assaillant abattu sur place l’autre a été arrêté.
  4. Un civil israélien blessé dans une attaque au couteau à Ra’anana. L’assaillant a été arrêté.
La scène de “l’agression” du bus 78 à Jérusalem dans laquelle 2 Israéliens ont été assassinés

La vraie question est : comment Valérie Féron peut-elle continuer à exercer la profession de journaliste alors qu’elle a montré son engagement militant pro-BDS, qu’elle a fait l’apologie des organisations terroristes palestiniennes ?

Partagez cette article pour diffuser la vérité sur Valérie Féron.

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